Bonjour à vous,
Artiref s’agrandit et double son nombre de salariés, oui, on passe de 1 salarié à 2 salariés, salariées je devrais dire puisque je suis entouré maintenant de mon épouse Agnès, et de Cindy.
Cindy, vous la connaissez, elle vient de finir un stage de 6 mois avec nous. Elle a notamment travaillé sur la mise en place de notre plateforme d’e-learning et elle a fait du bon boulot, si bien qu’on lui a proposé de rester avec nous faire un bout de chemin. En plus du e-learning et des accompagnements Artiref, elle aura en charge un nouveau produit qui sort courant septembre, mais là, c’est encore trop tôt pour en parler, mais restez branchés on vous en dira plus très prochainement.
Plutôt que de poser les questions convenues et habituelles, voici une interview décalée de Cindy :
Alors dites-nous (dites-leur !), c’est comment de travailler à Artiref avec Thomas et Agnès ?
Très dur, il fait 50° dans le bureau en plein après-midi, et Thomas et Agnès n’arrêtent pas de parler !
Non en vrai, c’est très réjouissant. Chaque journée est placée sous le signe de la bonne humeur, de la convivialité. Il y a des gâteaux, du café, des soupes chinoises, des burgers.
Thomas est la plupart du temps au bureau, sauf quand il est en déplacement/formations dans des contrées lointaines. Agnès est toujours là, du coup c’est pratique on peut échanger sur les projets en cours. (Bon je sais qu’ils liront potentiellement cet article, alors je reste soft).
Décrivez une journée typique a Artiref ?
La journée à Artiref commence avec une première injonction imposée par Thomas : prendre le café. C’est dommage car au début je n’en buvais pas…mais j’ai dû m’adapter. Du coup, on débute la journée par un café et on discute des news, des projets/devis à traiter dans la journée, on se fixe des objectifs à remplir (on adore rayer des trucs sur nos check-lists).
En principe, Thomas a eu 1000 idées entre la veille 17h et le matin 9h quand j’arrive (car lui il reste au bureau quand je pars, et il y est déjà quand j’y arrive, j’imagine parfois qu’il dort dedans…). Il ne décroche jamais d’internet, il est au taquet sur tout, sauf durant les conférences ou les cours de l’ESTHUA où il n’est pas joignable.
On travaille séparément ou en commun, j’interagis avec Agnès et Thomas, ils ont imposé un diktat qui dit que chacun doit lever la main lorsqu’il a une question, le fameux « I have a question », je me croirais encore à l’ESTHUA… mais je m’adapte aux méthodes de travail de l’entreprise !
Et sinon, et bien on bosse sur 1000 projets (suite aux 1000 idées de Thomas), devis, proposition d’interventions, articles du blog, suivi des formations e-learning, projets vidéos, etc. et on s’efforce d’accomplir le maximum !
C’est quoi ce nouveau produit dont Thomas parle ?
Je ne sais pas si je peux vraiment répondre à cette question, surtout sur le blog comme ça, enfin vu que c’est moi qui rédige la réponse et que Thomas ne relit pas… L’objectif est d’allier notre bon sens et nos connaissances pour aider les hôteliers à s’améliorer, je n’en dirais pas plus !
Quel a été le déplacement le plus marquant ?
Je me rappellerais toujours du début de mon stage : la 1e semaine, dès le 1e jour, je débutais le suivi de la formation multimodale e-learning avec les stagiaires et je rencontrais Thomas Mathieu de GuestApp à Nantes. Je trouvais que ça commençait fort mais ensuite, la préparation de la newsletter puis la 2e semaine, nous sommes partis pour 4 jours de formation dans deux hôtels dans l’Est de la France. Un trajet en voiture à discuter d’e-réputation, de commercialisation, des cours du semestre précédent à l’ESTHUA… j’ai eu l’impression d’être en pleine interro surprise un dimanche après-midi et 7h de trajet sans échappatoire, c’était assez long…. intense et intéressant.
Qu’est-ce qui vous a fait rester à Artiref ?
Sans conteste, le food truck du lundi qui fait des super burgers devant l’espace Patton ! Ca s’appelle l’Itinérant gourmand, c’est bon et Pierre est super sympa.
A part ça, j’aime bien l’ambiance, le café Senseo Noir ultime (je suis devenue adepte du coup), j’ai des stylos sponsorisés de toutes les CCI de France et et je travaille sur double écran, quand même c’est pas mal !
Et puis accessoirement, j’aime bien le boulot, le fait d’oeuvrer pour faire bouger les choses, proposer des améliorations, former des hôteliers pour les rendre encore plus performants, je trouve ça cohérent et ça donne envie de bien bosser quand on a un objectif bienveillant.
En ce moment, on bosse sur la Artiref Académie, le projet de formation e-learning, les programmes ont été tous mis en ligne et adaptés, on fait du tutorat, on suit nos stagiaires, c’est vraiment passionant !
Ce n’est pas trop dur de se voir en vidéo sur Youtube ? les gens murmurent que vous avez les cheveux verts ….
Oui c’est plutôt perturbant, surtout quand ce sont mes amis qui me font des retours sur les vidéos ! Je n’étais pas préparée à toute cette notoriété si soudaine sur la chaîne Youtube Artiref mais j’imagine que c’est ça de travailler auprès de Thomas Yung !
Après je trouve que le contenu vidéo est beaucoup plus vivant, interactif, humain que les articles, le message passe mieux donc ça me plaît de rendre les contenus plus accessibles.
Et comme ça, ça vous permet de voir qui se cache derrière le pseudonyme Cindy Bayle 😉
D’ailleurs on est en plein projets de vidéos pour Artiref, comme on dit restez branchés !
Est-ce vrai qu’on est très bien payé à Artiref ?
Et bien pour tout vous dire, entre le stage et le CDD, j’ai déjà doublé mon salaire… Thomas m’a promis une évolution comparable et bien plus par la suite, surtout avec les projets en cours alors je patiente et je travaille dur, en espérant que ça porte ses fruits bientôt ! 😉
Cliquez ici pour télécharger le contrat de travail de Cindy au format PDF
Pourquoi faites-vous cette interview ?
Pour tout vous dire…un des articles prévu pour la newsletter du mois a été déprogrammé en dernière minute car trop « dur » et du coup il a fallu inventer un truc, alors bon on s’est dit que faire une petite présentation c’est pas complètement idiot étant donné que j’ai commencé mon CDD depuis lundi 5 septembre ! On sait bien que personne ne le lira, mais bon au moins ça remplit la case vide…
Quelles sont les qualités pour bosser a Artiref ?
Pour travailler à Artiref, il faut de la tchatche, et encore de la tchatche. Il faut savoir parler et aussi écouter. On est capable de faire des interventions sur n’importe quel thème car quoiqu’il en soit, l’intervention est un partage de bonnes pratiques, astuces, outils qui font appel au bon sens. Thomas n’invente rien, il s’informe et après il partage dans un but pédagogique, c’est l’essence même d’Artiref…
Il faut aussi de l’organisation, Thomas ouvre 50 evernotes en même temps donc il faut suivre. Il ne faut pas croire, mais en réalité tout est bien rangé à sa place, organisé (sauf le bureau de Thomas…), et donc ce n’est pas un problème de suivre.
Enfin, je dirais que j’ai été recrutée aussi pour mes bonnes qualités rédactionnelles car je passe mes journées à rédiger des e-mails, devis, programmes, guides, synthèses de projets… J’adore ça et c’est fondamental de bien écrire pour faire passer le bon message.
Une interview exclusive de Cindy Bayle réalisée par Thomas Yung