Alors que plane la menace d’une remise en cause de l’exonération fiscale et sociale des pourboires dans le cadre du budget 2026, l’UMIH a réalisé, cet été, deux enquêtes complémentaires :
La première avec l’institut IPSOS BVA auprès d’un échantillon représentatif de salariés de la branche (1004 salariés – du 10 au 21 juillet 2025)1. La seconde auprès d’employeurs/ chefs d’entreprise, adhérents Umih ou non (1 023 – du 22 juillet au 5 août 2025). A lire ou relire : Votre contenu ici ! Vous êtes fournisseur de service, fournisseur de technologie, société/école de formation, entreprise de conseil ou accompagnement, chaîne hôtelière… et vendez des services aux hôteliers, investisseurs (…) Des résultats sans appel : un rejet unanime de la part des salariés et des employeurs de cette nouvelle taxe
Les résultats croisés révèlent une inquiétude partagée : salariés comme employeurs rejettent unanimement la possible création d’une « taxe sourire » et l’accueil qui mettrait en péril la motivation, le pouvoir d’achat et l’attractivité des métiers de l’ensemble des CHRDT cafés, hôtels, restaurants, discothèques, traiteurs), secteur déjà fragilisé par la crise sanitaire et l’augmentation des coûts de production.
Côtés salariés :
81% des salariés s’opposent à l’idée de payer des impôts et cotisation sur ces pourboires, 76% se disent inquiets. 41% envisageraient de quitter le secteur si cela devait être le cas. 71% perçoivent des pourboires en plus de leur salaire. 83% les voient comme un avantage incontournable.
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