Tweet Dans un contexte de croissance record du tourisme en Europe, un nouveau rapport montre que les hôtels représentent la grande majorité des nuitées touristiques au sein de l’UE (78%), et qu’ils sont le principal moteur de la croissance du tourisme dans les villes européennes les plus visitées. Moins de logements, plus d’hôtels : le nombre d’hôtels ne cesse d’augmenter, alors même que le déficit de construction de logements est bien réel. Avec 59% des nuitées réservées hors des villes, Airbnb contribue à répartir le tourisme hors des centres urbains surchargés, tandis que l’activité hôtelière se concentre le plus souvent dans les pôles touristiques. Dans les grandes villes européennes qui ont mis en place des règles strictes encadrant la location de meublés de tourisme, les problématiques liées au surtourisme perdurent et les prix des hôtels augmentent. A Paris, les hôtels représentent près de 80% des nuitées, leur nombre et leur prix augmentent, contribuant – jour après jour – à transformer la capitale en une destination de plus en plus chère pour les voyageurs.
Airbnb appelle les élus locaux à prendre en compte l’impact considérable des hôtels sur les problématiques de surtourisme dans les dix villes les plus visitées de l’Union européenne (UE). A commencer par Paris.
Cet appel intervient alors qu’un nouveau rapport publié aujourd’hui par Airbnb souligne que le surtourisme dans l’UE est principalement alimenté par les hôtels et autres hébergements similaires [1], qui représentaient près de 80 % des
