
Le marché hôtelier mondial retrouve aujourd’hui des taux d’occupation comparables, et parfois supérieurs, à ceux observés avant la crise sanitaire. En France, la dynamique repose sur un double moteur puissant. D’un côté, le tourisme international conserve un rôle central, attirant des millions de visiteurs vers Paris, les grandes métropoles et les destinations régionales.
De l’autre, la clientèle locale, stimulée par un désir croissant d’expériences originales, plébiscite les séjours courts et les “staycations”.
Sur le plan financier, les perspectives sont attractives. Les données issues de l’INSEE et de cabinets spécialisés estiment le rendement brut des actifs hôteliers prime entre 5 et 8 %, selon l’emplacement et le positionnement choisi. Au-delà du rendement immédiat, la réévaluation d’actifs offre un potentiel considérable : de nombreux établissements vieillissants peuvent être rénovés ou repositionnés afin de générer une plus-value importante à la revente ou une hausse substantielle du chiffre d’affaires.
Enfin, dans un contexte économique incertain, l’hôtellerie se distingue comme une classe d’actifs résiliente, moins exposée à la volatilité que d’autres segments tertiaires, et offrant une diversification précieuse pour un portefeuille d’investissement.
