Durant cette réunion, la principale revendication défendue par l »UMIH et le GHR, sera,« sous l’égide » du ministre, de convenir avec les principaux fournisseurs et distributeurs d’énergie des modalités de renégociation des contrats.
Selon une enquête menée par les deux syndicats fin janvier 2024, « plus de la moitié des professionnels (59%) restent tenus par des contrats d’approvisionnement en énergie à des prix extrêmement élevés, c’est-à-dire supérieurs à 180 euros le MWh alors que le prix du MWh a diminué depuis la fin 2022 et qu’il se situe à moins de la moitié de ce prix ». Les organisations affirment même que « 10% à 15% des professionnels seraient liés par des contrats avec des tarifs dépassant les 350 euros le MWh ».
Depuis des mois, associations de consommateurs ou professionnels dénoncent les coûts hors logiques économiques de l’électricité : après l’excuse ukrainienne, on évoque les nécessités du RSE, de la transition, de l’entretien des centrales nucléaires… »
On pourrait en rire si ce n’était pas si tragique
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