Un florilège de mauvaises nouvelles
Les Jeux Olympiques Paris 2024 risquent d’être une mauvaise affaire pour les parisiens et certains acteurs économiques. Si certains lieux de réception affichent déjà complets car hébergeant les sponsors les plus importants (on pense notamment à Toyota du côté de Bir Hakeim), la plupart des hôtels, notamment les 5* et Palaces, sont loin d’avoir fait le plein. Bien au contraire. Comme durant les Jeux de Londres 2012, les clients de ces établissements semblent reporter leur séjour dans la plus belle ville du Monde.
Hôtellerie, des contrôles systématiques par la répression des fraudes
Après l’inflation des titres de transport franciliens, les restrictions de circulation annoncées et autres « bad news », le compte à rebours semble égrener les mauvaises nouvelles. Dernière en date, l’annonce, faite par la ministre déléguée au Tourisme, Olivia Grégoire, de la généralisation des contrôles des hôtels parisiens par la répression des fraudes.
La première mission des agents sera de vérifier les pratiques tarifaires, les classements trompeurs ou inexistants et les autres potentielles allégations mensongères :
« Si les prix ne sont pas affichés, c’est possiblement une erreur et c’est condamnable. Si les prix affichés ne sont pas ceux payés, là aussi le consommateur est en droit de le faire savoir et de se plaindre », a indiqué la ministre déléguée au Tourisme.
Sur le territoire métropolitain, ce sont près de 10 000 contrôles qui sont prévus avant les Jeux olympiques.
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