Catégorie d’hébergements plus populaire que jamais, les locations de courte durée ne font pourtant pas l’unanimité. Pointées du doigt par les hôteliers et décriées par de nombreuses destinations touristiques, leur croissance sans limite n’est pas vue d’un bon œil. Face à un développement intensif à l’échelle nationale comme internationale, les gouvernements agissent. Diminution des périodes de location, restriction de développement dans certaines zones ou encore augmentation des taxes sur les résidences secondaires sont tout autant de solutions adoptées pour contrôler au mieux l’essor de ce marché.
La France multiplie les règlementations Avec un délai de location d’un meublé maximal de 120 jours par an et une obligation d’enregistrer son logement auprès des communes qui l’exigent, la France figure parmi les pays les plus actifs pour un encadrement des locations de courte durée. Entre 2018…