À 34 ans, la jeune maman et actrice réalisatrice d’origine australienne, qui a affolé le box-office en produisant et jouant « Barbie », film de Greta Gerwig, assume avec bonheur son rôle de nouvelle égérie de No5 de Chanel, maison dont elle est ambassadrice depuis 2018. Texte Anne-Marie Cattelain-Le Dû
La femme No 5 de Chanel, selon vous ?
« Une femme, indépendante, à l’assurance tranquille, à l’élégance innée. Une femme qui maîtrise sa vie, son destin. Une femme qui ose affirmer “je veux” et n’a pas peur de la différence. J’adore l’idée que le parfum reflète ses désirs, aide à les contenter. L’image de cette conquérante, féminine autant que féministe, me plaît. »
En quelques mots, Chanel N° 5, pour vous ?
« Une fragrance séduisante, puissante, énigmatique, abstraite. Et plus que jamais contemporaine. »
Le No 5 de Chanel, ultra-féminin, créé en 1921, reste dans le trio de tête des parfums les plus vendus au monde. © Chanel
Le parfum et vous
« Une longue et belle histoire. Enfant, je rêvais du jour où, adulte, je pourrais me parfumer, ce que je fais désormais chaque matin. Et chaque soir avant d’aller au lit, posant quelques gouttes sur mes poignets, dans mon cou.
Le parfum, essentiel ?
Oui, il reflète ma personnalité, mon état d’esprit, mon humeur. Lorsque je tourne, je le choisis en fonction du personnage que j’incarne. Chaque essence crée une atmosphère particulière. Son sillage signale mon passage, ma présence, en témoigne.
Le parfum, une marque de fabrique ?
« À travers son parfum on peut révéler beaucoup de soi, mais aussi décider de l’image que l’on souhaite projeter,