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BONUS : coworking dans les hôtels

  • Mark Watkins
  • 22 décembre 2025
  • 9 minutes de lecture
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Cet article a été écrit par Coach Omnium. Cliquez ici pour lire l'article d'origine

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LE COWORKING DANS LES HÔTELS. PEUT-ÊTRE UNE FAUSSE BONNE IDÉE

coworking hôtelierLe coworking, oui, vous savez, ce sont ces espaces ouverts, avec des tables, des niches, de la connectique, du Wifi haut à très haut débit… au décor cosy, parfois branché, design et souvent très sympathique… pour travailler, réfléchir ou discuter en groupe ou seul.

Si le concept n’est finalement pas si nouveau que cela, une petite partie de l’hôtellerie, dont beaucoup de chaînes, s’est récemment emparée du thème et cherche à l’exploiter en parallèle à son activité principale.

On estime qu’il s’est ouvert environ 50.000 espaces de coworking dans le monde en 2025, contre 14.000 en 2017 et 20.000 en 2019.

En France, c’est près de 3.400 lieux de coworking en 2025, pour près de 1.700 en 2019, soit un doublement en quelques années. Ces chiffres estimatifs incluent tous types de bureaux partagés, espaces flexibles, coworkings indépendants ou franchisés et lieux de travail collaboratifs répartis sur l’ensemble du territoire : grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille, mais aussi des villes moyennes.

On ne parle désormais plus que de ça, comme s’il s’agissait d’un nouvel eldorado. Quitte parfois à appeler coworking ce qui ne l’est pas, pour valoriser et rendre attractif une offre mal ficelée. Et si son chiffre d’affaires pour les hôteliers reste modeste (voir plus loin), il leur permet de s’ouvrir à de nouveaux publics non hébergés, voisins de leur établissement. L’hôtel n’est plus pour les seuls voyageurs.

Le coworking désigne à la fois, encore une fois, un lieu de travail ouvert et partagé, et un mode de travail collaboratif, en réseau, permettant de créer des interactions entre les différents professionnels qui s’y trouvent.

UN CONCEPT DÉJÀ ANCIEN

On croit que ce phénomène est récent, mais cette notion de coworking émerge dès la fin des années 1990, notamment avec ce que l’on appelait à l’époque les hackerspaces, des espaces ouverts et collaboratifs, souvent tournés autour de l’informatique ou la technologie. Dès lors, ce type d’espace va se développer à travers le monde.

En 2002, ouvre la Schraubenfabrick en Autriche, un espace communautaire dédié aux entreprises. Mais, c’est en 2005, à San Francisco, que le programmeur américain Brad Neuberg compose officiellement le premier espace de coworking avec des bureaux en open space, un accès Wifi, des déjeuners en commun, des séances de méditation, etc. En France, le premier lieu de coworking reconnu comme tel est La Cantine à Toulouse, ouvert en 2008 (voir photo plus loin).

Si les offres de coworking se sont fortement développées récemment, c’est parce qu’elles s’inscrivent totalement dans l’air du temps. La conception du travail a évolué et le nombre de startups et de travailleurs indépendants (en freelance) a fortement augmenté. Une des principales raisons est sans aucun doute la place qu’a pris Internet, qui a rendu les horaires de travail plus flexibles, tout comme le télétravail possible.

Ces équipements permettent aujourd’hui de satisfaire les attentes de ces nouveaux indépendants, qui travaillent souvent depuis chez eux, en leur proposant un lieu de travail à prix raisonnable, non engageant et donc sans les contraintes d’un bail classique, avec la possibilité de rencontrer d’autres indépendants et ainsi se constituer un réseau professionnel, le cas échéant.

LE COWORKING DANS LES HÔTELS

La plupart des hôtels situés plutôt en centre-ville (généralement en grande agglomération), dans un quartier d’affaires ou à côté d’axes stratégiques (gare, aéroport…) peuvent en théorie imaginer opter pour ce type d’offre.

L’espace de coworking peut être intelligemment installé dans le hall de l’hôtel s’il est assez grand, dans une salle de réunions ou dans une place perdue. Il faut quand même compter un minimum de 50 à 80 m2 pour 10 à 15 postes de travail. Les plus grands ont une surface de 300 à 500 m2, pour une capacité de 40 à 60 postes en ajoutant souvent des salles de réunions.

S’il donne en vitrine sur rue, c’est bien sûr encore mieux pour attirer plus facilement une clientèle extérieure.

hôtels avec coworking

Avec le déploiement des sites de coworking à travers le monde, après les cafés, les restaurants… c’est au tour des hôtels de surfer sur cette vague depuis ces dernières années. Les assez récentes chaînes hôtelières qui se positionnent sur la tendance lifestyle accordent à ces offres une réelle importance. C’est le cas des CitizenM, des Moxy Hotels, des Okko Hotels, de Nomad (groupe Océania) ou encore depuis 2017, de l’enseigne Mama Shelter qui a lancé la filiale Mama Works, avec une première implantation à Lyon. Pour ne citer que quelques uns.

Mais, de plus en plus d’établissements indépendants se sont également jetés dans le coworking.

Dans de nombreux hôtels urbains (boutique-hôtels, hôtels de milieu de gamme à luxe à Paris ou dans des grandes villes en régions), il existe aussi souvent des espaces de travail « work-friendly » ou centres d’affaires informels situés dans les salons, lounges, cafés ou clubs business que l’on peut utiliser pour télétravailler à l’heure ou à la journée (parfois via des réservations).

Dans l’hôtellerie, l’espace de coworking peut être présenté de deux façons. Il peut s’agir d’une partie du lobby complètement ouverte ou bien d’une salle à part dédiée où plusieurs utilisateurs se retrouvent dans la même pièce. Dans les deux cas, ces concepts doivent proposer un ameublement pour le travail : bureaux, tables, chaises, fauteuils… des prises (classiques et USB), du Wifi haut à très haut débit, des boissons avec du snacking (offre très fréquente)…

À noter que ces prestations se différencient du concept datant déjà des années 1980 de « business corner » qui est généralement un petit angle dans l’hôtel proposant un ordinateur, voire une imprimante (autrefois un fax), réservé à la clientèle hébergée.

DES GROUPES HÔTELIERS QUI SE POSITIONNENT SUR LE COWORKING

Plusieurs grands groupes hôteliers ont bien compris cet engouement pour le coworking, moyen de s’ouvrir à une clientèle extérieure non hébergée, et ont décidé de se positionner sur le secteur. Et parfois même en-dehors de leurs hôtels. Quelques exemples que l’on trouve en France :

  • Le groupe Accor, via sa marque Wojo (après l’avoir appelé « Nexdoor »), créée en 2018 à 50/50 avec Bouygues Immobilier, déploie des zones de coworking dans plus de 800 adresses d’hôtels en France, réparties dans environ 100 villes du pays (via spots et espaces aménagés dans les halls, bars, salons, etc.).
  • La marque myWO (My Working Space) est développée par Best Western France dans plusieurs de ses établissements (Paris, Lyon, Strasbourg, Lille, etc.).

PLATEFORMES / MARKETPLACES EN FRANCE

Sans surprise — dès lors où il se présente un marché —, on a vu fleurir des plateformes en ligne spécialisées où l’on peut rechercher, réserver et louer des espaces de coworking en France (postes de travail, open space, bureaux privatifs, salles de réunions, etc.). On trouve :

1. Workin.space : Plateforme française qui permet de réserver des espaces de travail (coworking, bureaux, salles de réunions) partout en France (près de 2.000 espaces et nombreux partenaires comme Wojo, Startway, Baya, Now Coworking, etc.). Très utile pour réserver à l’heure, à la journée ou sur plusieurs jours.

2. Office Hub : Marketplace internationale présente aussi en France, spécialisée dans la mise en relation pour coworking, bureaux partagés et bureaux privés. Permet de chercher et louer des espaces flexibles dans plusieurs villes françaises.

3. B’Coworker : Plateforme/app française qui permet de réserver du coworking en autonomie, y compris en 24h/24 et 7j/7 selon les lieux. Très pratique pour réserver rapidement des bureaux, open spaces, salles de réunions ou casiers.

4. Web‑Coworking.fr : Plateforme française de réservations listant lieux de coworking, bureaux privés, salles de réunion, avec annonces et possibilités de réservation. Interface simple pour trouver des espaces dans différentes villes françaises.

5. Coworking‑France.com : Annuaire / moteur de recherche spécialisé coworking en France, référençant des milliers d’espaces avec infos pratiques et comparatives. Idéal pour chercher et comparer avant de réserver via les sites des espaces.

Il existe bien sûr également des plateformes internationales comme Spacent, WeWork ou Regus.

TARIFS & RÉSERVATIONS

• Les 2/3 environ des hôtels recensés par Coach Omnium facturent l’accès à leur espace de coworking, aussi bien aux clientèles extérieures qu’aux clientèles hébergées. D’autres ne font payer le coworking qu’aux clients extérieurs à l’hôtel.

• Le plus souvent, les tarifs fixés à l’heure vont en moyenne de 5 à 7 € par personne (par poste de travail), à la demi-journée de 15 à 18 € et de 20 à 25 € à la journée. Sont parfois également proposés des abonnements au mois, mais qui sont rares dans les coworkings hôteliers.

• On constate que les prix entre les hôtels parisiens et ceux de villes en régions sont de près de 15 à 20 % plus élevés.

• De manière générale, il n’est pas obligatoire de réserver à l’avance. Néanmoins, près d’un tiers des d’hôtels proposant des offres de coworking payants conseillent de réserver au préalable car, selon l’affluence et la localisation, il n’est pas rare que l’espace de travail soit complet.

• Boissons & snacks : les boissons type thé ou café sont généralement comprises et souvent disponibles en libre-service lorsque l’accès à la prestation de coworking est payant. Quelques hôtels peuvent également inclure du snacking (gâteaux, petits sandwiches, etc.).

LES PROFILS D’UTILISATEURS

La cible principale pour les espaces de coworking hôteliers est la clientèle extérieure qui représente de 80 à 85 % des utilisateurs. Cela peut s’expliquer par le fait que les clients hébergées (essentiellement d’affaires) ont tendance à rester travailler tranquillement dans leur chambre. Si l’accès au coworking est payant, cela n’encourage pas non plus les personnes en séjour à s’y rendre.

Selon une étude de Coach Omnium de 2023 sur les clientèles hôtelières, 12 % des clients d’hôtels disent travailler ou s’installer souvent ou occasionnellement dans le lobby de l’hôtel. C’est peu. Pour mémoire, 42 % des clients d’hôtels séjournent avec un ordinateur portable, dont 68 % de la clientèle d’affaires.

Parmi les utilisateurs d’espaces de coworking, deux profils se distinguent :

  • Ceux qui tiennent des réunions en comité très réduit (2 à 3 personnes) ou font passer des entretiens,
  • Les travailleurs venant seuls, soit parce qu’ils sont de passage, soit parce qu’ils cherchent des lieux de travail en dehors de leur domicile de proximité.

D’une manière générale, les hôteliers affirment qu’il est beaucoup plus fréquent de voir des petits groupes de 2 à 4 personnes que des individuels. La mise en place d’espaces de coworking dans les hôtels étant assez récente, les clientèles d’habitués ne semblent pas encore s’être formées.

La localisation de l’établissement est évidemment un critère essentiel pour les coworkers. On constate effectivement que les hôtels disposant d’une salle de coworking sont généralement situés dans des grandes villes, dans des quartiers d’affaires ou à proximité d’axes stratégiques (gare TGV ou aéroport, par exemple) pour favoriser la venue d’une clientèle extérieure. De plus, les hôtels sont jugés globalement plus calmes que les restaurants ou les cafés, et sont donc des endroits propices au travail.

AVANTAGES POUR L’HÔTEL

1) Revenus additionnels & meilleure rentabilisation des surfaces : monétisation de surfaces peu productives (lobby, salons, salles de réunion sous-utilisées, voire salle de petits déjeuners — même si ce dernier lieu n’est pas idéal), revenus complémentaires, amélioration du RevPAM (revenu par m²), pas seulement du RevPAR.

2) Lissage de l’activité et des flux : clientèle en coworking principalement en semaine et en journée (quand l’hôtel est vide), compensation des creux hôteliers hors saison touristique (le cas échéant), augmentation du trafic non-résident dans l’hôtel.

3) Dynamisation des autres services : effet levier sur bar / restauration, petits déjeuners, afterworks et événements. Transformation de l’hôtel en lieu de vie avec une ouverture vers le voisinage et le passage (proximité gare ou aéroport), pas uniquement d’hébergement.

4) Attractivité : image moderne, connectée, orientée usages. Atout marketing fort pour télétravailleurs, clientèle business, « digital nomads ». Différenciation par rapport aux hôtels concurrents.

CONTRAINTES À ANTICIPER

• Investissements initiaux : aménagement spécifique (mobilier ergonomique, très nombreuses prises électriques, Wifi renforcé, insonorisation, éclairage,…) pour un budget non négligeable si création d’un espace dédié. Il faut compter raisonnablement de 800 à 1.500 € / m².

• Organisation et exploitation : nécessité de règles d’usage claires et d’une gestion des flux (clients hébergés vs. externes) pour les grands espaces et selon les heures de pointe. Il faut compter des charges supplémentaires pour la réception, le buffet, le ménage et la maintenance. Formation du personnel à un nouvel usage.

• Gestion des entrées/sorties et de la sécurité : pour l’accueil de public extérieur, il faut un contrôle des accès ne serait-ce que pour la sécurité/tranquillité des clients hébergés (empêcher les personnes extérieures de circuler dans les étages des chambres). C’est une problématique forte dans les hôtels urbains.

• Positionnement tarifaire délicat : il faut parvenir à trouver le bon équilibre entre la gratuité pour les clients hébergés et la monétisation pour les clients extérieurs. Il existe des risques de sous-valoriser l’espace ou de freiner la demande.

INCONVÉNIENTS ET RISQUES

1) Conflits d’usages : des nuisances sont possibles (bruit, visioconférences, téléphone, conversations, va-et-vient), ainsi que des problèmes de cohabitation entre clients loisirs, clients affaires et/ou coworkers externes. Il est également possible que la clientèle extérieure ne soit pas attirée par un hôtel, qui a une autre vocation, surtout s’il existe dans le quartier d’autres sites de coworking non hôteliers.

2) Risque de dilution de l’identité hôtelière : l’hôtel peut être perçu comme trop ouvert, moins « exclusif », moins protégé par rapport à l’extérieur. Une inadéquation est possible avec l’hôtellerie haut de gamme ou les hôtels très orientés loisirs.

3) Rentabilité incertaine : tous les hôtels ne sont pas adaptés tels que ceux dans des zones peu tertiaires, le milieu rural ou des établissements très saisonniers. Un produit de coworking mal exploité peut devenir un coût fixe avec peu de chiffre d’affaires et/ou un lieu peu utilisé mais contraignant. Le coworking ne représente qu’une infime partie du chiffre d’affaires des hôtels (très largement inférieur à 5 %, y compris les ventes périphériques). On peut se demander si l’effort par l’hôtelier vaut le maigre résultat obtenu.

4) Concurrence directe avec les coworkings spécialisés. La comparaison défavorable est possible sur les prix, sur la communauté ou encore sur les équipements professionnels. L’hôtel doit assumer un positionnement hybride, pas purement coworking.


En résumé : Pour les hôteliers, concevoir et proposer un espace de coworking peut être une mauvaise affaire, compte tenu des contraintes, de la concurrence non hôtelière souvent attractive, de l’investissement au coût assez élevé et de faibles revenus observés dans la plupart des cas.

Mark Watkins avec Margot Perroy

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