La Fed annonce, pour la première fois depuis la pandémie de Covid-19, une baisse de ses taux directeurs, 3 mois après la BCE. Les liquidités, les concepts et l’appétence sont là, mais où investir et comment favoriser le développement de l’offre hôtelière en Europe ? La rentrée, période de projection et de budget N+1 se profile, et vous avez encore des doutes sur la stratégie à adopter ? Accélérer, au contraire replier la voilure, ou tenter un entre deux ? Rendez-vous au Hospitality Asset Forum pour en parler le 28 novembre prochain.
Il est encore temps d’entrer dans l’écosystème Hospitality ON pour participer à cet événement.
Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. – Socrate
Et nous avons bien conscience de la fragilité ainsi que de la complexité de l’édifice qui supporte l’investissement hôtelier en Europe et dans le monde. Toutefois nous n’avons aucun doute sur la solidité de ses fondations. Une demande mondiale de voyage en croissance constante, une capacité des opérateurs et investisseurs à ajuster leur produits, outils de gestion et modèle d’investissement ou, pour n’en citer qu’un dernier, le trésor que représente le capital humain qui est quotidiennement au contact avec les clients finaux.
Si tout n’est pas rose, l’actif hôtelier est parmi les plus attractifs en cette période post-crise car au-delà de la valeur des murs, la gestion des établissements apporte un supplément de valeur aux actifs. Une gestion qui peut être ajustée quotidiennement et qui permet de