Tweet Un paradoxe dans la consommation d’alcool : Malgré la montée en puissance du Dry January, les magasins d’alcool enregistrent une hausse de +21,5 % du volume d’affaires et +31,2 % du volume d’activité. Le bien-être en plein essor : Les dépenses liées au bien-être et au fitness progressent (+7,1 % du volume d’affaires et +7,6 % du volume d’activité). Un phénomène qui gagne du terrain sur les réseaux sociaux : L’intérêt pour le Dry January explose avec une hausse spectaculaire des recherches sur TikTok (+773 %) et Instagram (+613 ).
Chaque année, le Dry January prend de l’ampleur, encourageant un nombre croissant de Français à réduire ou arrêter leur consommation d’alcool durant le mois de janvier. Bien plus qu’un simple défi personnel, il influence les comportements d’achat et de consommation et impacte l’activité économique. Quels secteurs – restauration, bars, cavistes, bien-être, commerces de tabac – en sortent gagnants, et lesquels en pâtissent ? Pour mieux comprendre ces évolutions, la fintech SumUp, partenaire de confiance de plus de 4 millions de commerçants, a analysé les transactions effectuées en janvier 20251 en les comparant à l’année précédente.
Quels secteurs ont su tirer parti de cette évolution des habitudes de consommation ? Quelles villes se démarquent par une adoption plus marquée du Dry January et un engouement accru pour le bien-être ? Décryptage d’un phénomène qui redéfinit certains secteurs tout en créant de nouvelles opportunités pour d’autres. A lire ou relire : Votre contenu ici ! Vous êtes fournisseur