À un moment où la mobilité des jeunes actifs est toujours un sujet d’actualité (depuis 15 ans ! 😂🤣), où l’insertion d’un jeune provincial ou ultramarin est de plus en plus problématique puisque qu’aucun dispositif d’accompagnement n’est prévu (quid de la politique de logement) dans les régions souffrant d’une pénurie d’actifs (notamment en IDF mais pas que !), on est en droit de pointer du doigt la vacuité du discours et le vide sidéral des des acteurs institutionnels nationaux de l’emploi en France !
En Mauricie (Québec) et en Guadeloupe, les acteurs régionaux de l’emploi ont opté pour les actes et non pour les discours lénifiants ! Cap sur la mobilité francophone !
Désormais, un dispositif guadeloupéen cible désormais… le Québec et une de ses régions touristiques, la Mauricie, pour tenter d’apporter une réponse à son chômage structurel et endémique (+ de 50 % de chômage chez les jeunes) !
Pass 21 (Plateforme d’actions sociales et solidaires pour le 21e siècle), organisme guadeloupéen fondé par Marie-Luce Lafages, propose, en concertation avec les autorités du Québec, un permis d’étude encadré par un dispositif spécifique pour favoriser l’insertion d’étudiants « afin qu’ils suivent une formation professionnelle tout en travaillant une vingtaine d’heures par semaine« .
Pour le Québec, ce programme est « tout bénef’ », permettant l’accès à une main-d’oeuvre prête à être formée, la facilitation du processus de recrutement et une perspective de main-d’oeuvre qualifiée et francophone.
Comme rapporté par le site canadien Le Nouvelliste, « leur séjour pouvant aller jusqu’à trois ans, les détenteurs