L’étude commandée par Belambra Clubs à l’IFOP conforte beaucoup de comportements déjà observés en post-crise sanitaire. Si celle-ci est dépassée, d’autres facteurs ont un effet pervers sur les vacances des Français, et notamment une inflation qui se fait sentir plus sévèrement. Une bonne nouvelle pour les opérateurs nationaux, l’Hexagone reste le terrain de jeu favori de nos compatriotes, mais leurs jeux se sont atténués.
Les plus anciens d’entre vous se souviendront de cette chanson du groupe Élégance : Vacances, j’oublie tout – Rien à faire du tout, Folie légère, c’est fou – Pas besoin de penser, on ne peut pas résister – Restaurants, boîtes de nuit, tout ce qu’on a envie ».
Oui, mais depuis la crise, les crises sont passées par là et l’inflation s’est invitée dans les foyers. Si les vacances restent un moment « sacré » pour les Français, ils sont plus nombreux cette année à ne pas y avoir cédé et surtout à s’être montrés beaucoup plus raisonnables. La « folie légère » est oubliée, la maîtrise du budget l’a remplacée.
Voici ce que les responsables de Belambra Clubs ont tiré comme enseignements majeurs de l’étude menée entre le 18 et 21 juillet auprès de 1503 personnes âgées de plus de 18 ans.
Alors qu’un Français sur deux a fait le choix de partir en vacances cet été, la France s’affiche comme la destination privilégiée par presque 70% des vacanciers. Destination plébiscitée pour la beauté et la diversité de ses paysages, elle est aussi favorisée pour des raisons budgétaires