Habitué aux espaces de coworking pop-up, après le Club France des JO ou les Internationaux de Tennis de Roland Garros, l’équipe Wojo a mobilisé un salon de l’Accor Arena pour accueillir ses clients et des membres des équipes en région.
Le prétexte était davantage festif que studieux. Pour autant, à l’occasion des dix ans de Wojo, son directeur général, Stéphane Bensimon a évoqué les nouvelles pistes de travail. D’ores et déjà Wojo gère une quarantaine de sites dédiés en France, dont une dizaine rien que sur Paris, de quelques milliers à quelques dizaines de milliers de mètres carrés, comme son flagship de Montparnasse.
Près de 80% des espaces sont loués à des entreprises qui ont décentralisé leurs équipes en prenant des bureaux privatifs, à côté des espaces de travail partagés par des travailleurs nomades et des salles de réunions.
Les espaces de coworking se sont aussi installés dans quelque 160 hôtels du groupe Accor dans le monde, d’Ibis à Sofitel en passant par Novotel ou Pullman. Sans compter les deux espaces MamaWork, hérités de la reprise de Mama Shelter par Accor.
Un concept original, la workspitality
Si le modèle a bien profité d’un changement de comportement au travail après la crise sanitaire, il se stabilise désormais avec des offres plus claires et un marché qui prône en partie le retour des équipes au siège.
Wojo insiste désormais sur une forme de philosophie du travail, baptisée la Workspitality. C’est un mélange d’efficacité grâce aux installations et aux services mis à disposition dans chaque Wojo, mais aussi du
