L’affaire fait depuis 24 heures les gros titres de la presse people ou féminine (Elle) mais est depuis, reprise par la presse quotidienne généraliste.
Jean Imbert, chef médiatique s’il en est, est accusé de violences psychologiques et physiques par quatre de ses ex-compagnes. Elles dénoncent des comportements de contrôle, de jalousie excessive, et des violences physiques. Lila Salet évoque des claques violentes et des pressions pour retirer une plainte, tandis que Kelly Santos parle de morsures et d’agressions.
Une autre ex-compagne accuse le chef de l’avoir frappée, fracturant son nez. Jean Imbert, par ses représentants, dément ces accusations, évoquant des « dysfonctionnements » mais niant toute violence physique. Ces révélations pourraient avoir un impact quant à son image et ses affaires et remettre en cause ses nombreuses collaborations, notamment avec des groupes hôteliers internationaux très sourcilleux en matière d’égalité et de lutte contre les violences faites aux femmes
Une affaire qui tombe un peu plus d’un an après une affaire de bizutage qui avait impliqué là encore un Chef d’un hôtel de luxe (La Tribune de l’Hôtellerie, déc.2023) et qui avait entraîné le départ quasi-immédiat du cuisinier.