Mais le calcul s’est révélé… contre-productif avec une perte sèche de 200 000 euros pour l’année. Le passage au réel, plus complexe à appliquer, a non seulement déstabilisé les professionnels du plein air, mais freiné la collecte.
Et pourtant, les campings et l’hôtellerie de plein air s’étaient montrés réticents dès l’annonce du changement et avaient alerté les élus du syndicat mixte. Pour ces établissements, souvent saisonniers, le passage au réel représentait davantage de complexité administrative.
Pragmatiques et confrontés à l’implacable réalité, les élus ont décidé de faire marche arrière et de revenir dès cette saison au régime forfaitaire, jugé plus lisible, plus prévisible… et finalement plus rentable.
