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Avec la résidence Les arts à l’ère de l’IA, la Villa Albertine propose à 8 artistes, acteurs culturel, ou chercheurs de s’emparer du potentiel de l’intelligence artificielle dans l’art et la médiation culturelle.
Le sommet de l’action pour l’IA stimule l’effervescence liée à l’intelligence artificielle. Un plan d’investissement massif ou encore l’appel à la mise en place d’une stratégie européenne pour accélérer le développement de cette technologie, autant d’annonces qui ont vu le jour à l’occasion de l’événement.
Mais les industriels de l’aéronautique et les grands groupes de la Tech ne sont pas les seuls secteurs à vouloir s’emparer de l’IA.
C’est le cas également de la Culture où l’initiative Les arts à l’ère de l’IA souhaite mettre le potentiel de l’intelligence artificielle au service de l’art et de la médiation culturelle.
Mis en place par la Villa Albertine, financé par la mécène franco-américaine Fidji Simo, PDG et présidente d’Instacart, et soutenu par la ministre de la Culture Rachida Dati, l’appel à projet propose une résidence dans une ville américaine où se situe la Villa Albertine à tout artiste ou acteur culturel qui intègre ou souhaite intégrer l’intelligence artificielle à ses travaux.
L’objectif étant de stimuler l’innovation, la réflexion et la créativité tout en renforçant la coopération entre la France et les Etats-Unis. A l’issue des inscriptions qui courent jusqu’au 25 mars 2025, 8 porteurs de projets seront sélectionnés pour prendre part à cette résidence dans la ville de leur choix où est implantée la Villa Albertine.
Sur place, les partenaires s’engagent à mettre à leur disposition l’ensemble de l’écosystème de l’IA, notamment des entreprises technologiques, des universités, des centres de recherche et des institutions culturelles. Bien que les places s’avèrent limitées, l’initiative souligne les efforts de différentes industries pour faciliter l’intégration de l’IA.
Photo d’ouverture : ian dooley
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